Originaire de Toulon, Constantin de Slizewicz s’est installé en 2000, à Kunming dans la province chinoise du Yunnan , où il entame une carrière de photo-reporter pour la presse française et chinoise. Sa soif d’aventure le conduit, en 2005, sur les rives du lac Lugu, où il gère une maison d’hôtes et écrit son premier ouvrage, Les Peuples Oubliés du Tibet. Profondément marqué par les cultures tibétaines, il s’installe en 2010 dans une ferme tibétaine à Shangri-la, sur les Marches Tibétaines, où il dirige la Mission Liotard. C’est dans ces contrées himalayennes, à plus de 4 000 mètres d’altitude, que Constantin découvre et adopte les bottes traditionnelles Goloks, qui l’accompagnent dans ses périples.

De retour en France en 2021, dans la Drôme, terre de ses racines, Constantin de Slizewicz perpétue l’art des voyages muletiers sur le haut plateau du Vercors, tout en restant fidèle à son amour pour les traditions tibétaines. C’est cette passion pour les grands espaces et le savoir-faire artisanal qui l’a conduit à réinventer les bottes goloks, désormais fabriquées en Provence, pour les aventuriers modernes.